L'affaire Bayou sera-t-elle la goutte
d'eau qui fera déborder le vase plein de la bave des hyènes et du venin de ces langues de vipères qui dévoient le combat féministe à des fins publicitaires, ou au service de leur promotion
professionnelle ou politique.
Le journal
Libération, peu suspect de complaisance envers le machisme, publie aujourd'hui un article ahurissant, sous un titre qui en dit long sur les dérives de certaines pseudo
féministes :
"Affaire Bayou : comment des militantes et des ex ont mis le chef d’EE-LV sous surveillance"
On sait que Julien Bayou a démissionné lundi de son poste à la tête du parti écologiste après des accusations de "violences psychologiques" envers son ex-compagne.
Libération précise que depuis trois ans, "il vivait sous la pression d’un collectif féministe informel qui lui reprochait sa conduite et enquêtait sur ses relations."
Ce "tribunal" était conduit par une ex compagne et manipulé par Sandrine Rousseau, qui lorgne la succession de celui qu'elle a mis à terre et dont la taille et les dents ont des longueurs
inversement proportionnelles....
«Il y avait clairement, dès 2019, une campagne animée par des féministes pour le faire tomber», raconte une ancienne
compagne de l’écologiste, contactée à l’époque par ce petit groupe. Depuis trois ans, l’ex-leader d’EE-LV était un homme surveillé.
Le 26 septembre toujours, Marie Dosé, l’avocate désignée par Julien Bayou, s’essaye à une conférence de presse d’un genre nouveau : elle doit défendre un client qui, à ce stade, n’est accusé
d’aucun acte pénalement répréhensible. Devant la presse, elle dénonce «une procédure paralysante qui n’offre aucune garantie et ne respecte
en rien le principe de la défense». Contacté par Libération, Julien Bayou n’a pas souhaité s’exprimer, pas plus que son ex-compagne
Aline.
Libération, 01 10 2022